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Ultime regard du vieux copain Dick |
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octobre 2000 - 21 mai 2012
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22 avril 2012 : jour d'élection pour le vieux citoyen déjà gravement malade |
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Pique nique sur l'herbe
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Vivre sur le pays |
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Départ guilleret à la chasse |
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Retour de chasse avec la fatigue en plus |
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Jeu entre Dick et la petite nouvelle Vanille |
Dick fait connaissance avec Vanille qui vient d'arriver pour remplacer feu le Goya

Dick après avoir coursé un écureuil aboie pour que le chasseur arrive et tire

A l'arrêt, il montre l'endroit avec son museau

Il attend et rien ne se passe car l'écureuil, je n'ai pu le photographier car il était caché par les feuillages

Etant plus grand que le citoyen Dick, je l'ai vu avant lui dans les foins de fin mai

Il me regardait, mais un cochon peut regarder un évêque. Dick ne l'a pas vu mais il a senti son effluve. Dick, comme la cavalerie a aboyé la charge, hélas trop tard pour rejoindre l'indigène fuyant

Retour de patrouille dans la forêt printanière de la Petite Sibérie

Langue pendante

Recherche du bain

Après le bain

Dick a levé un faisan, à la chasse photographique je l'ai eu

De très loin, gros plan flou

Entre deux périodes de chasse

Dégustation d'une palombe

Peinard

Niche hivernale

Gueule

Le nouveau copain à Dick s'appelle Titou alias Monte en l'Air

Cohabitation

Gardien de courge

L'éleveur des poulets haut de gamme a donné au Dick un poulet que la roue de son tracteur avait écrasé. Il l'a tout mangé sauf les plumes qui sont parties au gré du vent. Puis Dick a dormi toute la nuit.

Dick aime aussi le ragondin au menu

Dans les verts pâturages, tu es mon berger o ! seigneur, comme le dit le cantique.
Dick entend dans le lointain, la cloche de Castelner annonçant la messe de la fête patronale.

Ce n'est pas le cochon qui dans le maïs mais le Dick. Si mon Lumix DMC TZ7 avait été un calibre 14, je mangeais une poule faisane Carougne

Douce lumière du premier soir d'automne juste avant la poursuite de l'indien (chevreuil) par la cavalerie yankee (Dick). Je ne verrai rien, mais j'entendrai les sons (aboiements) decrescendo du cor le soir au fond des bois... Avant le retour, langue pendante et indien en fuite...

Regard sanguinaire de Goya

Quand je suis né, on m'a appelé Goya, comme le grand espagnol qui peignit son pays en sang. Hélas, peu de temps après, on me les a coupées et j'ai grossi comme un boeuf des prairies du Luy. Maintenant, on me surnomme Groya.
Je m'en fous car je chasse quand je veux. Je ne connais, ni Bougrin Dubourg, ni Bardot, ni Nihous, ni le permis, ni la carte de la société, ni l'ouverture, ni les battues, ni les pandores, ni les gardes, ni les gens de Bruxelles.
Et quand, il y a les repas organisés par les chasseurs, je fais les poubelles
J'étais le Groya la terreur des lapereaux, des oisillons, des mulots, des souris et de tout ce qui bouge à condition que Dick me les laisse.
Dans la nuit du 31 août 2010, le Goya est mort écrasé par une automobile devant l'église de son village.
Regard serein

En pleine course

A fond

Que les chevreuils, lapins et faisans de la petite Sibérie (sud du canton d'Hagetmau et est du canton d'Amou) se planquent, Dick est en forme pour le 13 septembre.
1 commentaire:
ah ! moi qui habite une grande ville, si je pouvais venir avec vous dans votre belle Chalosse
A L
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