Les quelques documents ci-dessous classés chronologiquement sont loin de couvrir la triste période de l'occupation avec la ligne de démarcation coupant la commune en deux.
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| Document allemand fourni à la mairie en août 1940 |
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| Coupure de presse été 1940 |
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| Le premier tracé ne passa pas l'été 1940 |
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| La cérémonie officielle fêtant la libération de St Sever devant le monument aux morts | |
2 ANECDOTES CONCERNANT LA GUERRE
11 NOVEMBRE 1941 :
Léoncia Loustalot boulangère de la place du Tour du Sol sort de sa boutique avec une gerbe de fleurs qu’elle va déposer aux monuments aux morts situé à 15 mètres de la sentinelle allemande gardant la Kommandatur.
MARSEILLAISE JOUEE LORS D’UNE COURSE LANDAISE DE LA ST JEAN 1943 :
Pour la Saint Jean 1943, Joseph Baccarrère qui a alors 37 ans demande au commandant allemand de la Kommandatur l’autorisation de jouer la marseillaise à la fin de la course landaise des fêtes de la Saint Jean. Celui-ci veut refuser mais J Baccarrère insiste car il dit que c’est la tradition comme au début on joue la Cazérienne.
Le commandant allemand accepte et on assiste à l’audition de la Marseillaise par les soldats allemands, les spectateurs debout.
Ce fut une action de résistance déguisée
REFLEXION PERSONNELLE :
Quand Hitler et Franco se rencontrent à Hendaye le 23 octobre 1940, il y avait parmi les points de négociation une occupation par l'Espagne de la zone occupée entre l'Adour et les Pyrénées.
Si les 2 dictateurs s'étaient entendus voici la situation à Saint Sever :
Armée allemande à Péré
Armée Française à Sainte Eulalie et à Cachon
Armée Espagnole en ville, au Bas du Pouy et à Augreilh
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